Des citoyens et membres de la société civile se sont rassemblés, dimanche 15 février, au poste frontalier Ras Jedir réclamant sa fermeture jusqu'à ce que la taxe de sortie soit annulée et les activités commerciales soient reprises.

Selon ces citoyens le maintien de Ras Jedir ouvert constitue un danger pour les passagers et menace le commerce frontalier. La cellule de crise de Ben Guerdane a soutenu, pour ça part, l’initiative de fermeture du poste frontalier et a menacé d’entamer une grève générale à Ben Guerdane si le gouvernement ne prennent pas les mesures nécessaires pour satisfaire aux revendications de la région.